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Humour

 

La semaine du 18 décembre 2000

Congrès de groupes féministes du monde entier
Notre envoyé spécial, le Dr. Alain de Gottal
 
La premiere qui prend la parole est allemande
- Bonjour, mon nom est Karen, et j'ai avise mon mari :
"Friedrich, prepare le diner et je veux du boeuf!! "
Le premier jour, je n'ai rien vu, le deuxieme jour non plus,
mais au bout du troisieme, Friedrich me prepara le diner.
APLAUDISSEMENTS ET OVATION GENERALE: Braaaavoo!!!!!!!!!

C'est au tour d'une Italienne:
- Bonjour, mon nom est Isabella, et j'ai dit a mon mari :
"Luigi, a partir de demain tu nettoies toi meme la maison "
le premier jour, je n' ai rien vu, le deuxieme jour non plus,
mais le troisieme, Luigi avait passe l'aspirateur.
APLAUDISSEMENTS ET OVATION GENERALE : !!!!!!!!!!Braaavo!!!!!!!!!

C'est au tour de l'Algerienne:
- Bonjour, mon nom est Yasmina et j'ai dit a mon mari:
"Mohamed, repasse le linge, Faineant!!!!!
le premier jour, je n'ai rien vu, le deuxieme non plus,
mais le troisieme, j'ai commence a revoir un peu de l'oeil gauche!

 

Sandwich au poulet
Anonyme
 
C'est l'histoire d'un mec un peu fatigue qui s'arrete dans un petit bar sur le bord de la route. Il rentre, se dirige vers le bar, et la il voit un ecriteau :

"Biere $5, Sandwich au poulet $8, Branlette $15".

Un peu mefiant,  il regarde et voit la serveuse, super mignone, derriere le bar qui vient vers lui.
Il hesite un peu puis lui demande :
"heu, la branlette la,c'est vous qui vous en occupez ?"

La fille roule un peu des hanches, le regarde langoureusement, et d'une voix assuree mais douce lui sussure :
"oui c'est moi, joli garcon".

Le mec s'empresse de repondre :
"Bon alors lavez vous bien les mains, parce que je voudrais un sandwich au poulet!"

 

Elections américaines
Spécial Floride...

 

Poème breton
 
 
La nuit était noire
La lune était blanche
Nous étions seuls
Elle et moi

Sa peau si douce
Ses yeux si bleus
Je savais ce qu'elle
Attendait de moi

Je lui dis de se calmer
De ne pas se rebeller
Je fis courir ma main
Doucement sur ses reins

Je n'y connaissais rien
Mais je fis de mon mieux
Pour placer mes doigts
Delicatement entre ses seins

Je me souviens de ma peur
De l'excitation de mon coeur
Jusqu'a ce moment beni
Ou ma honte s'enfuit

Apres quelques Hisse et Han
Il ne fallut pas longtemps
Pour qu'en un jet puissant
Jaillisse le liquide blanc

Enfin j'avais reussi
J'etais un homme a present
C'etait la toute premiere fois cet automne...
 

Que je trayais une vache Bretonne.

 

Nouveauté chez Microsoft
(On n'arrête pas le progrès : on n'a même plus besoin de redémarrer après installation !)

 

Drague à la wallonne
 
 
Sans avoir l'air Chênée, cette Boncelles me dit: « Evegnée donc, Bomal »

Aussi Liège connaissance, tel un sultan je l'emmenai dans mon Waremme et
bien que très Haccourt d'argent, je lui demandai « Aubel, Comblain
veux-tu?».

Elle me répondit: « mon Gerr, je ne suis pas à Wandre mais à Maryhaye ».
Elle avait Bellaire, une chemise Battice, un Longdoz et de Loncin. Alors
comme nous n'étions que Theux et que je ne suis pas un Saint Nicolas, je
lui demandai si elle disait Huy.

Nonceveux pas, me dit-elle d'abord puis se Remouchamps, elle déclara
«Hockay. »

Bref, nous nous Fléron, Jemeppe le Glons et nous Barchon sans que
Cheratte le but.

Elle soupirait: « re Fexhe le moi, mon chéri ».

Ce qui me fit dire « Tu me prends pour une cascade, espèce de Coo ».

Cela m'en Herve tellement que je lui fit cambrer Seraing et que je me mis
alors à Visé le petit Trooz de son Hannut.

Elle lÂcha une Vesdre qui ne sentait pas l'eau de Hollogne et hurla
«Aywaille, tu m'Flemalle, sale Angleur ! »

Jupille'tié d'elle, mais hélas, huit jours après, j'avais une Chaudfontaine.